24/07/2024

Portrait collaborateur : Camille Plassart

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Est-ce que tu peux te présenter à celles et ceux qui ne te connaissent pas ?

 

Je m’appelle Camille Plassart, j’ai rejoint Impulsa Avocats depuis pratiquement 7 mois, c’était en décembre dernier, j’ai une licence en droit, j’ai exercé dans quelques cabinets de la place mais aussi dans d’autres endroits notamment au greffe.

 

Ton cursus ?

 

J’ai obtenu une licence de droit à l’université Paris-Panthéon-Assas en 2021. J’ai ensuite commencé par des CDD de remplacement de congé maternité en greffe pour prendre de l’expérience, puis j’ai intégré un premier cabinet d’avocats aux Conseils dans le 17ème, que j’ai quitté pour rejoindre IMPULSA AVOCATS. Je travaille principalement dans l’équipe de Jean-Baptiste, mais aussi avec Louis-Marie sur ses dossiers en droit du travail.

 

Comment tu t’es retrouvé dans le droit ?

 

En début d’étude je ne savais pas exactement ce que je devais faire, mais je viens d’une famille de juristes, ce qui a fortement pesé sur mon choix de carrière.

 

 

Expérience pro / expérience pro la plus marquante jusqu’à ce jour ?

 

Ma première expérience était en remplacement d’un congé maternité au greffe d’un tribunal de commerce, où je faisais un peu de manutention principalement. Ils réorganisaient leurs archives j’en ai été chargé avec un collègue titulaire. On a transporté du papier à la tonne dans un kangoo pendant plusieurs semaines. Ce n’était pas très juridique mais j’en garde un bon souvenir.

La plus marquante à ce jour est mon expérience en tant que greffier de la chambre disciplinaire de l’ordre des masseurs-kinésithérapeutes d’Île-de-France. C’est une petite juridiction avec un seul greffier, j’avais donc directement les mains dans le cambouis. C’était assez différent des autres expériences que j’ai eues. J’y ai passé huit mois, après un prolongement de deux mois.

 

Comment es-tu arrivé chez Impulsa ?

 

Dans mon ancien cabinet j’avais le sentiment d’avoir fait le tour du poste, j’ai donc commencé à chercher autre chose. C’est à ce moment qu’une boîte de recrutement a pris attache avec moi après avoir consulté mon profil sur un site de recherche d’emploi. À partir de là les choses se sont enchaînées rapidement. Après un entretien par visio avec l’agence de recrutement, j’ai eu un premier rendez-vous avec les associés dans les locaux d’Impulsa, puis j’ai signé à un deuxième rendez-vous et l’intégration s’est faite dès le mois suivant.

 

Pourquoi avoir choisi Impulsa Avocats plutôt qu’un autre cabinet ?

 

Dès l’entretien je n’ai pas eu l’impression que je n’allais faire que du secrétariat ; c’est un peu ce que je faisais avant et c’est ce que je ne voulais pas. On m’a proposé des tâches assez différentes, ce qui va avec la multidisciplinarité du cabinet. Jean-Baptiste a également quelques dossiers assez atypiques, ce qui ajoute encore de la diversité aux tâches de travail. C’est principalement ça qui a fait pencher la balance, mais il y a aussi la taille du cabinet et le fait que l’équipe est assez jeune, ce qui est également le cas côté comptable.

 

Comment vis-tu la diversité des corps de métiers au sein du groupe Impulsa ?

 

En tant que juriste ça facilite le traitement des dossiers, surtout en droit des sociétés, et en particulier en ce qui concerne les tâches qui reviennent tous les ans comme les approbations des comptes. Étant donné qu’on a en interne les comptables qui suivent les comptes des sociétés en question, c’est plus simple de leur demander, on envoie un teams ou on va les voir et on a la réponse rapidement. Ça permet de travailler plus efficacement.

D’un point de vue humain, les événements que les RH organisent régulièrement permettent de créer des liens et de mieux travailler ensemble.

 

Quelles sont les missions sur lesquelles tu interviens en ce moment ?

 

En ce moment des formalités, du juridique récurrent essentiellement en droit des sociétés. J’aide l’équipe des avocats collaborateurs qui travaillent avec Jean-Baptiste sur ces questions-là. J’apporte également mon assistance à Jean-Baptiste sur quelques dossiers qui sont un peu différents du droit des sociétés.

En droit du travail, Louis-Marie me demande de l’aider pour la constitution de dossiers de plaidoirie à déposer, ce qui peut impliquer quelques déplacements à Paris ou ailleurs. Je l’aide également pour sur la rédaction des assignations dans certains dossiers. Sans oublier la gestion de l’administratif, facturation et suivi notamment.

 

Ton regard sur le futur du métier, notamment avec le développement de l’IA ?

 

J’avoue que je ne suis pas très prospectif là-dessus. Je vois l’intelligence artificielle comme une aide. Je ne la perçois pas comme une menace, au contraire. J’ai remarqué que les IA spécialisées fonctionnaient plutôt bien, ce qui n’est pas du tout le cas des IA généralistes, comme ChatGPT, qui répond n’importe quoi lorsqu’il ne connaît pas la réponse.

On peut se servir de l’IA pour s’aider dans des recherches, c’est principalement comme ça que je m’en suis déjà servi. Ce n’est pas parfait, il faut repasser derrière pour vérifier quelques points, mais on gagne du temps. Pour mon cas j’utilise de temps à autres Ordalie.ai notamment, une IA spécialisée dans le droit.

 

Quelles sont les personnes avec lesquelles tu travailles au quotidien ? Et comment se passe votre collaboration ?

 

Je travaille avec les deux associés, en fonction de leurs besoins. J’ai des missions qui regroupent les deux et de manière plus générale le cabinet, par exemple la facturation. Ensuite au jour-le-jour, lorsque l’un ou l’autre a besoin d’aide sur un dossier il fait appel à moi.

Dans le bureau je travaille aussi avec Rachel Fontaine et Lisa Miniscloux toutes les deux avocates collaboratrices qui me demandent parfois de les aider sur certaines tâches, ainsi qu’avec les élèves avocats.

 

Peux-tu nous parler d’une journée type chez Impulsa ?

 

J’arrive aux environs de 9h30, je regarde où en est la facturation, qui a payé quoi côté client, je fais le suivi. Ensuite je lis les mails que j’ai reçus depuis mon départ la veille à 17h30 ou pendant le week-end pour prendre connaissance de l’avancement des dossiers et faire la mise à jour dans mon excel de suivi, vérifier s’il y a des relances à faire. Les relances peuvent concerner des clients, ou des intermédiaires afin vérifier que les choses se passent bien. Il y a ensuite les missions ponctuelles qu’on me donne. En ce moment par exemple j’ai quelque chose à faire pour Louis-Marie, je dois lui envoyer un dossier de plaidoirie pour une affaire devant le conseil de prud’homme. Ce sont des missions ponctuelles mais j’en ai quelques-unes à faire en permanence.

 

Peux-tu nous parler de toi en dehors du cadre professionnel ?

 

Je fais du sport en sortant du cabinet et quelquefois le samedi, j’alterne entre vélo et course à la salle, je fais un peu de muscu de temps en temps. Je passe pas mal de temps à cuisiner en soirée. Pour le reste c’est lecture et cinéma sans oublier les traditionnels week-ends avec les potes.

 

 

Pour finir, qu’est-ce qu’on peut te souhaiter pour l’avenir ?

 

Pour la suite on peut me souhaiter d’acquérir des compétences avec l’expérience ou par la formation professionnelle par exemple. À plus ou moins moyen terme une reprise d’études n’est pas à exclure, toujours dans cette idée d’évolution. C’est
dans cette optique que j’ai rejoint Impulsa Avocats d’ailleurs, c’est un réel objectif que je me suis fixé que j’espère atteindre.

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