Portrait associé : Louis-Marie Longin

Peux-tu te présenter en quelques mots et nous parler de ton parcours ?

Je m’appelle Louis-Marie Longin, je suis Avocat Associé d’Impulsa Avocats, au sein duquel j’exerce en droit du travail, tant en Conseil RH et social qu’en contentieux.

J’ai eu une formation assez classique, soit un master en droit des affaires à la Faculté de droit Panthéon-Assas, suivi par l'École du barreau de Paris (EFB). J’ai également effectué plusieurs stages au sein du même cabinet (Loctin et Associés).

Après avoir été diplômé, je suis resté dans le cabinet où j'avais effectué mes stages, que j’ai par la suite quitté pour intégrer le cabinet DTMV & ASSOCIES. C’est dans ce cabinet que j’ai rencontré mon associé Jean-Baptiste (cofondateur d’Impulsa).

Comment as-tu trouvé ta vocation ?

Ma vocation d’avocat ? Je ne l’ai pas vraiment trouvée, elle est venue progressivement.

Je souhaitais initialement m’orienter vers des études littéraires mais des évènements m’ont dirigé vers la faculté de Droit. J’ai moyennement aimé les études, trop scolaires à mon goût, je ne pensais pas alors aller jusqu’au bout. Au final, j’ai intégré l’école du Barreau et j’ai tout de suite adoré le métier d’avocat dès lors que j’ai pu le pratiquer !

Que fais-tu aujourd’hui ?

Je suis avocat en droit du travail, mais je n’étais pas du tout parti pour exercer cette spécialité. A l’origine, j’ai un master en droit des affaires et fiscalité des entreprises.

Mon premier cabinet m’avait demandé d’en faire, j’avais quelques a priori mais au final cette pratique m’a plu et me plaît toujours beaucoup, c’est très intéressant, c’est du quotidien et ça touche tout le monde.

En réalité, ce genre de pivot est assez fréquent en droit. J’ai également eu l'occasion de pratiquer dans d’autres domaines : Droit des affaires, baux commerciaux et même du pénal en tant qu’avocat commis d’office pendant plus de 3 années, généralement le week-end au cours des permanences de comparutions immédiates ou en garde à vue.

Ce qui m’a réservé des surprises qui n’arrivent pas en cabinet : Un jour un client a soulevé et m'a lancé la table d’entretien à la figure, il m'avait pris pour le procureur de la république du fait de ma robe – je l’ai quand même défendu mais en conservant une distance de sécurité avec lui !

Comment as-tu été amené à travailler avec Impulsa ? Qui t'a orienté dans ce choix ?

Par le biais de Jean-Baptiste comme tu peux le deviner - Jean-Baptiste était la première personne qui est venu me parler lorsque j’ai intégré le cabinet dans lequel il travaillait avant de fonder Impulsa. On a très rapidement sympathisé et lorsqu’il a quitté ce cabinet pour fonder Impulsa nous sommes restés en contact.

J’ai démissionné du cabinet en question sur un coup de tête, je me suis lancé et j’ai pris mes locaux tout seul boulevard Saint-Germain, c’est une expérience que j’ai beaucoup appréciée et qui fonctionnait bien, mais au bout de 6 mois tout seul je commençais un peu à tourner en rond, et le travail en équipe me manquait.

C’est à ce moment que nous avons repris contact avec Jean-Baptiste et qu’il m’a présenté à Grégoire, Maxime et Romain. Le contact était tout de suite très bon et j'ai donc accepté de rejoindre les locaux d’Impulsa en tant que partenaire lorsqu’ils me l’ont proposé – c’était une vraie chance de pouvoir rejoindre un projet aussi ambitieux et novateur.

Comment décrirais-tu les relations que tu entretiens et les différentes personnes au sein d’Impulsa ?

J’ai de très bonnes relations avec les différentes personnes d’Impulsa, l’équipe avocat bien sûr, Jean-Baptiste mon associé et Amandine notre partenaire, mais aussi avec l’équipe Paie avec qui nous collaborons quotidiennement, sans oublier l’ensemble du Groupe.

Qu’est-ce que tu apportes à Impulsa ?

Mon expertise en droit du travail, qui est complémentaire à celle de Jean-Baptiste sur le volet M&A et Corporate et celle de Véronique sur le volet de la Paie, j’essaye de participer au développement des réseaux également, à l’image du partenariat avec Carmine Capital et d’autres avocats comme Amandine Jouanin que je connaissais d’un précédent cabinet et prochainement Sarra Ghemam.

Impulsa m’apporte également beaucoup, l’aspect interprofessionnel est primordial, ce qui se traduit par les offres one stop shop mises en avant et portées par les services financiers offerts par la partie expertise-comptable et l’accompagnement juridique de notre côté.

Nos clients ont ainsi tous les services du chiffre et du droit à portée de main.

Comment as-tu été amené à devenir associé d’Impulsa Avocats ?

Le partenariat est par définition temporaire, donc si ça fonctionne, il est naturel de chercher à aller plus loin.

C’était donc entendu dès le départ que si notre partenariat fonctionnait je pourrais être amené à être nommé en tant qu’associé, ce sont les fiançailles avant le mariage.

Qu’est-ce que ce nouveau statut implique ?

Plus de responsabilités mais également apprendre à travailler autrement et à déléguer, ce qui est parfois plus compliqué que de travailler seul, du moins si on ne change pas ses méthodes – tout cela est très stimulant.

As-tu un souhait pour l’avenir ?

Impulsa Avocats à horizon 2025 :

• Accroître notre équipe d’avocats en rassemblant différentes expertises (après le M&A-Corporate pour Jean-Baptiste en sa qualité de Cofondateur d’Impulsa, le droit du travail et conseil RH pour moi, le droit immobilier pour Amandine, et enfin l’IP/IT et RGPD pour Sarra Ghemam.

• Continuer à grandir ensemble et à satisfaire au mieux nos clients.

Sans oublier de développer les valeurs d’Impulsa qui constituent le socle de notre quotidien !

Un mot de la fin ?

Continuons ainsi !